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Semaine 02.25 (no. 497) | Pauline Bazignan, Vanessa Fanuele, Chemin(s) de peinture | La chapelle-espace d’art contemporain, Thonon-les-Bains

Intitulé « La peinture… quoi d’étonnant ! », le cycle d’expositions de La chapelle de la Visitation pour la saison 2024-2025 vise à mettre en exergue différentes propositions qui actent la pérennité d’un mode que beaucoup pensent obsolète. Présenter conjointement les travaux de Pauline Bazignan et de Vanessa Fanuele relève de la volonté de mettre en parallèle les Chemin(s) de peinture de deux artistes dont la complicité artistique connaît différences et partages.

Semaine n°497, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Philippe Piguet
Parution vendredi 10.01.2025
Isbn 978-2-35864-127-2
17 x 24 cm, 16 pages, 6 €

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Semaine 51.24 (no. 496) | Hera Büyüktaşcıyan, Défendre les eaux ancestrales | Centre de création contemporaine Olivier Debré, Tours

Dans la continuité de l’exposition Terres résonnantes, présentée au Centre international d’art et du paysage de Vassivière, Défendre les eaux ancestrales déploie des récits qui ont émergé puis ont disparu au contact de l’eau. Dans la nef du ccc od, Hera Büyüktaşcıyan livre une création sensible et poétique qui prend la Loire comme point de départ. Elle révèle des couches sédimentées de l’histoire enfouies au-delà de notre perception et explore la relation entre le paysage et le corps. L’exposition sonde l’agencement du non-humain au travers de fragments d’histoires sociales, environnementales et culturelles et de leurs traces au regard de la morphodynamique de l’eau. Le protagoniste ici est le fleuve Loire en tant qu’organisme vivant. Dans cette intervention in situ, une vague inattendue se déverse dans l’espace, reflétant le mouvement du cours d’eau. Les particules géométriques flottant à sa surface se propagent en une constellation, faisant écho à la notion de fragments de temps qui apparaissent et disparaissent tel un cycle. Défendre les eaux ancestrales constitue un lien commémoratif incarné entre les époques. Elle suggère d’autres façons de lire les histoires invisibles et de percevoir le monde qui nous entoure. Élodie Stroecken, commissaire de l’exposition

Semaine n°496, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Élodie Stroecken
Parution vendredi 20.12.2024
Isbn 978-2-35864-126-5
17 x 24 cm, 16 pages, 6 €

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Table | Solstice d’hiver | 10 – 21.12.2024

vente de plus de 150 œuvres de petits formats proposées par plus de 30 artistes
sur la Table d’Immédiats et à la galerie Cyrille Putman
60 et 67, rue du Quatre-Septembre, Arles 

Exposition organisée par Pierre Grand, Hervé Humbert, Cyrille Putman et Gwénola Ménou, en collaboration avec l’association d’artistes Nopoto.

vernissage
jeudi 12 décembre, 18 h

ouvert
tous les jours, 11 h 30 18 h 30

Table d’Immédiats
Sébastien Abot, Jean-Marc Andrieu, Julien Batifol, Virginie Blanchard, Jean-Christian Bourcart, Naomi b Cook, François Curlet, Laurie Dall’Ava, Laurie-Anne Estaque, Rodrigue de Ferluc, Matt Frenot, Hector Gachet, Florence Grundeler, Porky Hefer, Hervé Humbert, Stéphanie Jabir, Sylvain Loret, Robin Maddock, Gilles Magnin, Laura Morsch-Kihn, Bertrand Parinet, Hélène Riff, Manuel Salvat, Reeve Schumacher, Yoan Sorin, Muriel Toulemonde, Isabelle Vaillant, Clémence Vazard, Francine Zubeil 

Galerie Cyrille Putman
Jean-Pierre Autheman, Malachi Farrell, Jacques Fournel, Diana Hajji, Fabrice Hyber, Gérald Martin, Stéphane Vigny

La Table d’Immédiats
67, rue du Quatre-Septembre
13200 Arles, France

Semaine 49.24 (no. 495) | Raphaëlle Peria, Dérives de nos rêves informulés | Fondation Bullukian, Lyon

Qu’elle accompagne les mouvements saccadés de sa péniche, traverse les rieux des hortillonnages à la découverte de jardins flottants ou bien qu’elle vogue au creux des valleuses, Raphaëlle Peria ne se laisse pas seulement porter à la surface de ces eaux aux apparences trompeuses. Elle s’y fraye des passages, y prélève des sensations, recompose des histoires teintées de matières et de couleurs pour faire émerger des images et des reliefs, comme ces petites pierres lentement gravées par les eaux des ruisseaux. En découle un recueil d’images anciennes, silencieuses comme des archives, jamais triées, trop longtemps dissimulées et laissées à vau-l’eau, ensevelies par la mémoire. Elles ressurgissent désormais comme des rescapées couvertes d’un nouveau voile, celui de la peinture, pour s’écouler d’une frêle barque et s’épancher en cascades vers d’autres rives, emportant avec elles leurs secrets. On dérive alors au cœur de photographies inachevées, comme des réminiscences de rêves informulés ou empêchés, qu’il faut pourtant accepter de (re)traverser. Fanny Robin, commissaire de l’exposition

Semaine n°495, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Anaïs Viand
Parution vendredi 06.12.2024
Isbn 978-2-35864-125-8
17 x 24 cm, 32 pages, 10 €

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Analogues | Anne Houel, Tobrouk

Descriptif 

: 19 x 26 cm, 96 pages, fr/eng, relié.
Auteurs  : Paul Ardenne, Sylvain Courbois.
Parution novembre 2024.
Isbn : 978-2-35864-119-7.
Prix public : 28€.

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Ce premier ouvrage d’Anne Houel est consacré à la sculpture monumentale Tobrouk installée sur la plage Riva-Bella de Ouistreham pendant une année puis déplacée au Musée d’Art, Histoire et Archéologie de Évreux. Tobrouk est une sculpture monolithique en acier corten qui représente l’espace intérieur d’un bunker individuel de type tobrouk. L’œuvre témoigne et réécrit, à l’aune des décennies qui nous séparent de l’implantation des bunkers sur la côte normande, l’histoire de ces constructions avec lesquelles ont grandi deux, voire trois générations. À Ouistreham, l’œuvre est cachée sous une montagne de sable, et le public est invité à mettre au jour la sculpture comme pour en révéler les traces fossilisées du passé. L’artiste propose au public de vivre l’œuvre selon la posture de l’explorateur et fait référence à son expérience intime au contact des vestiges du Mur de l’Atlantique « abandonnés aux jeux des enfants » (Paul Virilio, Bunker Archéologie, Publications Centre de création industrielle Centre Georges Pompidou, 1975). La sculpture, rapatriée dans une cour de Musée, y est présentée tel un vestige retrouvé, une sculpture énigmatique où on observe, sur la coque monolithique laissée à nue, les traces de son archéologie. 

Publié avec le soutien du ministère de la Culture – programme Mondes nouveaux, de la région Normandie, de la commune de Ouistreham Riva-Bella, du musée d’Art, Histoire et Archéologie d’Évreux, de l’Artothèque de Caen, du Frac Centre-Val de Loire, de l’entreprise MC2 Industrie et de Didier Webre.

Édition : Gwénola Ménou et Fabien Chaminade
Conception graphique : Fabien Chaminade
Correction : Stéphanie Quillon
Traduction : Danya Kiernan
Crédits photographiques pour les vues de Tobrouk : Anthony Girardi
Photogravure : Caroline Lano, Arles
Diffusion/distribution en librairie : Les Presses du réel, Dijon

Semaine 43.24 (no. 494) | Chiharu Shiota, Beyond Consciousness | Musée du Pavillon de Vendôme, Aix-en-Provence

Les œuvres de Chiharu Shiota sont éphémères, mais elles visent à laisser une impression durable. L’artiste réalise des installations immersives dans lesquelles un espace entier est traversé de fils de couleur généralement noire ou rouge, couleurs qui selon l’artiste peuvent être associées au ciel nocturne ou au cosmos pour la première, au sang ou au fil rouge du destin dans la mentalité asiatique pour la seconde. Un fil rouge, tel un cordon ombilical qui nous relie à la vie, à la fois viscéralement et poétiquement. Ces fils, dessins dans l’espace, aux réseaux complexes matérialisent des liens entre les êtres et les choses dans une énergie onirique et poétique.

Semaine n°494, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Christel Pelissier-Roy
Parution vendredi 25.10.2024
Isbn 978-2-35864-122-7
17 x 24 cm, 16 pages, 6 €

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Semaine 42.24 (no. 493) | Mireille Blanc, Artifices | La chapelle-espace d’art contemporain, Thonon-les-Bains

Intitulé « La peinture… quoi d’étonnant ! », le cycle d’expositions de La chapelle de la Visitation de la saison 2024-2025 vise à mettre en exergue différentes propositions qui actent la pérennité d’un mode que beaucoup pensent obsolète. Inaugurer celui-ci en présentant le travail de Mireille Blanc, née en 1985, l’une des figures majeures de sa génération, repose sur le fait que sa peinture condense la plupart des problématiques liées à ce mode d’expression. Au regard du format des tableaux, du sujet représenté, des jeux de composition, de couleur et de lumière, bref de toutes les qualités inhérentes au fait pictural.

Semaine n°493, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Philippe Piguet
Parution vendredi 18.10.2024
Isbn 978-2-35864-120-3
17 x 24 cm, 16 pages, 6 €

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Analogues | Anaïs Lelièvre, littera/terra

Descriptif 

: 21 x 28 cm, 96 pages, broché, jaquette.
Auteurs  : Stéphanie Le Follic-Hadida, Marc Pottier, Elora Weill-Engerer, Jean-Charles Hameau.
Parution octobre 2024.
Isbn : 978-2-35864-118-0.
Prix public : 28€.

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L’œuvre d’Anaïs Lelièvre est empreinte de lignes et de matières qui sont autant de strates des terrains qu’elle arpente, qu’elle habite en nomade et qu’elle met à l’étude de sa palette d’artiste. Géologie, archéologie, écriture, histoire urbaine et formes architecturales infiltrent son travail et le structurent. En seulement quelques années depuis 2016, l’artiste a réalisé un important nombre d’œuvres céramiques, en parallèle de ses installations souvent monumentales de dessins imprimés, conçues aussi bien pour des lieux d’exposition que pour des espaces extérieurs. Avec la céramique, dont la pratique constitue déjà un pan spécifique dans son œuvre, Anaïs Lelièvre se rapproche d’une matière qui incarne ses domaines d’exploration. La terre modelée, gravée, compressée ou liquéfiée met au travail à la fois une relation aux mouvements incontrôlés du sol, volcanique ou sismique, et une recherche d’écriture, de transcription distanciée. Cet ouvrage propose une coupe franche dans ces séquences d’œuvres céramiques à l’occasion du parcours d’expositions de ses œuvres dont la première étape est organisée au musée de céramique de Lezoux d’octobre à décembre 2024.

Stéphanie Le Follic-Hadida est historienne, critique, commissaire d’exposition, vice-présidente de l’Académie internationale de la Céramique. Marc Pottier est commissaire d’exposition au Brésil. Elora Weill-Engerer est historienne de l’art, critique et commissaire d’exposition. Jean-Charles Hameau est conservateur en chef du patrimoine, musée national Adrien Dubouché, Limoges.

Publié avec le soutien du Musée de la Céramique de Lezoux, de la Drac Auvergne-Rhône-Alpes, du Département du Puy-de-Dôme ; du Département des Bouches-du-Rhône ; de la galerie Capazza, Nançay ; de la Communauté de communes des Terres du Haut Berry, Centre de céramique contemporaine La Borne.

Édition : Gwénola Ménou
Conception graphique : Emmanuel Leroy
Correction : Stéphanie Quillon
Photogravure : Arles Photogravure
Diffusion/distribution en librairie : Les Presses du réel, Dijon

 

Florence Grundeler, Entre

Descriptif 

: 20 x 26 cm, 112 pages, broché.
Auteurs : Elora Weill-Engerer, Marie-Hélène Lafon.
fr/eng
Parution avril 2024.
Isbn : 978-2-35864-096-1.
Prix public : 33€.

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Florence Grundeler est une artiste plasticienne née en 1968. Sinophone et habitée par la culture chinoise, elle a également nourri son apprentissage lors de séjours au Brésil et en Argentine. Dans des installations, gravures et surtout des toiles traversées de fils et d’encre, cette adepte de la matière fait vivre l’espace et le vide pour mieux cerner les fulgurances et les lignes qui en émergent. Formée au paysage plutôt qu’à l’image artistique, elle revendique le besoin de ce minimum de virginité dans la façon de travailler. En appelant significativement son atelier “l’Entre”, l’artiste confirme son désir de fouiller les marges, les intervalles, laissant advenir quelques possibles, dans la liberté, l’instinct ou les maladresses qui emmènent autre part. Elora Weill-Engerer

Ce volume réunit les textes d’Elora Weill-Engerer (prix de la critique d’art 2023 Aica) et Marie-Hélène Lafon (prix Renaudot 2020). Florence Grundeler vit à Arles.

Édition : Gwénola Ménou
Conception graphique : Geneviève Gleize
Correction : Stéphanie Quillon
Traduction : Victor Mazière
Diffusion/distribution en librairie : Les Presses du réel, Dijon

Semaine 2018-2024 | Le monde comme il va | La chapelle-espace d’art contemporain, Thonon-les-Bains

La programmation de La chapelle de la Visitation de Thonon-les-Bains s’inscrit pleinement dans le contexte d’une politique artistique globale de la ville. D’automne 2018 à l’été 2024, six saisons se sont écoulées, vingt-deux expositions et trente artistes exposés. Peinture, dessin, sculpture, photographie, vidéo, installation, wall drawing, etc., la programmation s’est attachée à mettre en exergue la plupart des formes et des protocoles mis en oeuvre par les artistes de sorte à être en écho avec le monde comme il va. Toutes générations et cultures confondues, à l’exemple, d’une part, de ces figures aînées de renommée internationale que sont le Britannique David Hockney, Sarkis, d’origine arménienne, et Valère Novarina, un enfant du pays, et, d’autre part, de Christelle Téa, de Guillaume Talbi ou de Maxime Duveau, la trentaine à peine ou pas encore entamée. Philippe Piguet, commissaire des expositions

Valère Novarina, Chaque chose devenue autre
Jochen Gerner, Cache-oeil
Régis Perray, jardins enchantés
Hicham Berrada
Sarkis, Au commencement le retable d’Issenheim
Karine Rougier et Duncan Wylie, Entre fiction et réalité
Christophe Robe et Guillaume Talbi, entre deux
Marion Charlet et David Hockney, De la couleur avant toute chose
Fabien Mérelle, Faire corps avec la nature
Jean-Jacques Rullier et Didier Trénet, Paysages vécus, paysages inventés
Anaïs Lelièvre, Expériences d’espaces
Dominique De Beir, Percées de lumière
Azul Andrea, Eva Jospin, Raphaëlle Peria, Christelle Téa, Singularités plurielles
Nicolas Daubanes, Résister
Philippe Cognée, La figure incarnée
Ernest Pignon-Ernest, La figure révélée
Claire Chesnier, Les jours
Maxime Duveau, Palimpsestes
Miguel Chevalier, Digital Cosmologies
Emmanuel Régent, L’écho des profondeurs
Alexandre Leger, Un halo d’étrangeté
Hugues Reip, Aura
Charlotte Vitaioli, Le jardin des promesses confuses

17 x 24 cm, 404 pages, broché, bilingue fr/eng
Text. : Philippe Piguet
Parution décembre 2024
Isbn 978-2-35864-124-1
38 €

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Table | Figures de mondes complexes | 26.11 – 07.12.2024

Il existe des formes, des images, des figures qui vont par-delà leurs valeurs esthétiques ou symboliques. Elles sont des vecteurs, des clefs de passage vers d’autres mondes, celui des ancêtres humains ou non-humains, celui des esprits intégrant chaque entités (humains, animaux, plantes, montagnes…), celui de cosmologies méditées ou rêvées. Les Figures présentées sont contextualisées par des textes dans l’exposition et par de courtes vidéos en ligne.

une proposition de Pierre Grand

vernissage
jeudi 28 novembre, 18 h

ouvert
du lundi au samedi, 14 h – 19 h

La Table d’Immédiats
67, rue du Quatre-Septembre
13200 Arles, France

Table | Elizabeth Guyon, Après le feu | 13 – 23.11.2024

Dans les collines des Alpilles, dans les landes de Gironde, dans les monts d’Arrée en Bretagne, la géo-artiste Elizabeth Guyon marche après le feu. Elle marche les terres et les arbres calcinés, au cœur des cendres et à la lisière des incendies. Dans un aller-retour entre terrain et atelier, l’artiste explore notre relation au feu et déploie des « contre-espaces » plastiques qu’elle présente au public sous la forme d’installations ou de performances.

vernissage
jeudi 14 novembre, 18 h

ouvert
horaires variables et sur rdv

avec l’artiste
mercredi 13, 16 h 19 h
jeudi 14, 17 h 20 h,
vendredi 15, 16 h 19h,
samedi 16 et samedi 23, 12 h 14 h, 16 h 18 h

La Table d’Immédiats
67, rue du Quatre-Septembre
13200 Arles, France

Table | Les Matons | 28.10 – 09.11.2024

Si l’on dit liberté, humour, amour, enfance et invention, imaginaire quotidien, on parle des Matons, des artistes qui ont joué ensemble dans ces petites cabines-photo de l’espace public, s’inventant en masques, accessoires, détails saugrenus. Leur clan d’amis est de la même eau, en témoignent les messages sur leur répondeur, restitués par un 33 tours d’infos triviales, bruitistes, surréalistes, complices. La Fabrique sensible édite leur album JB001… on a marché sur la lune.

vernissage
jeudi 31 octobre 18 h

ouvert
du lundi au samedi, 16 h – 19 h
sauf mardi 29 et mercredi 30 octobre

avec Christian Bonifas, artiste, 
lundi 28 et jeudi 31 octobre, samedi 2 et samedi 9 novembre

avec Francine Zubeil, éditrice,
jeudi 31 octobre et vendredi 1er novembre

La Table d’Immédiats
67, rue du Quatre-Septembre
13200 Arles, France

Semaine 41.24 (no. 492) | Yann Lacroix | Fondation Bullukian | Abbaye royale de Fontevraud

Yann Lacroix est le premier lauréat de la Résidence Bullukian-Fontevraud. Pendant plus de quatre mois, l’artiste a posé ses palettes et ses pinceaux au cœur de l’Abbaye royale de Fontevraud pour prendre possession de ce nouvel espace de vie et de travail. Dans ce vaste atelier, les tubes de peinture se sont assemblés, les pigments colorés ont été déposés sur les toiles encore vierges avant d’être rigoureusement effacés et la lumière du Val de Loire s’est mise à transpercer les murs et les tableaux. Va dès lors commencer un travail d’immersion et de recherche pour l’artiste. Imprégné physiquement de Fontevraud et nourri de deux histoires, l’artiste n’a eu de cesse d’opérer un travail de remémoration et
de dialogue entre ces deux territoires : Lyon, ses traboules, ses riches collections antiques, Napoléon Bullukian et son Arménie natale et Fontevraud, sept cents ans d’histoire monastique, son organisation spatiale spectaculaire, sa beauté architecturale et sa famille Plantagenêt. Les nouvelles productions de l’artiste sont marquées de l’influence qu’a eue l’histoire des lieux et plus largement du passé historique et symbolique encore omniprésent.

Semaine n°492, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Julie Chaizemartin
Parution vendredi 11.10.2024
Isbn 978-2-35864-123-4
17 x 24 cm, 32 pages, 10 €

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Table | Solie Morin | 15 – 26.10.2024

Solie Morin, est graphiste. Sa proposition pour la Table d’Immédiats permet la rencontre entre son travail de commande et sa pratique personnelle. Deux regards croisés sur la représentation de la relativité des couleurs, leurs superpositions et la mise en scène de la lumière à travers des techniques variées, notamment la sérigraphie et l’assemblage textile.

vernissage
jeudi 17 octobre 18 h

avec la graphiste
jeudi 17, samedi 19 et samedi 26 octobre

ouvert
du lundi au samedi, 16 h – 19 h

La Table d’Immédiats
67, rue du Quatre-Septembre
13200 Arles, France

Semaine 40.24 (no. 491) | Iris Levasseur, Chorégraphies | Musée de Tessé, Le Mans

Peintre absolument, Iris Levasseur décline depuis plus de vingt ans une œuvre singulière et puissante dont le vecteur cardinal est la figure du corps — la figure du corps dans l’espace. Si elle a tout d’abord puisé au plus près du réel pour la mettre en situation dans des saynètes aux références multiples, elle emprunte ses modèles depuis plusieurs années à l’histoire, qu’elle soit mythologique, ancienne ou contemporaine. Ce faisant, son objectif est de faire valoir la force de l’image à nous interroger sur le monde et à dessiller notre regard sur les mutations dont il gronde. Par-delà la question du modèle, celle du corps est la préoccupation primordiale de sa démarche. Elle détermine son art à l’ordre de l’humain au compte d’une production plastique où peinture et dessin sont intimement liés.

Semaine n°491, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Philippe Piguet
Parution vendredi 04.10.2024
Isbn 978-2-35864-121-0
17 x 24 cm, 16 pages, 6 €

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