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Table | Figures de mondes complexes | 26.11 – 07.12.2024

Il existe des formes, des images, des figures qui vont par-delà leurs valeurs esthétiques ou symboliques. Elles sont des vecteurs, des clefs de passage vers d’autres mondes, celui des ancêtres humains ou non-humains, celui des esprits intégrant chaque entités (humains, animaux, plantes, montagnes…), celui de cosmologies méditées ou rêvées. Les Figures présentées sont contextualisées par des textes dans l’exposition et par de courtes vidéos en ligne.

une proposition de Pierre Grand

vernissage
jeudi 28 novembre, 18 h

ouvert
du lundi au samedi, 14 h – 19 h

La Table d’Immédiats
67, rue du Quatre-Septembre
13200 Arles, France

Table | Elizabeth Guyon, Après le feu | 13 – 23.11.2024

Dans les collines des Alpilles, dans les landes de Gironde, dans les monts d’Arrée en Bretagne, la géo-artiste Elizabeth Guyon marche après le feu. Elle marche les terres et les arbres calcinés, au cœur des cendres et à la lisière des incendies. Dans un aller-retour entre terrain et atelier, l’artiste explore notre relation au feu et déploie des « contre-espaces » plastiques qu’elle présente au public sous la forme d’installations ou de performances.

vernissage
jeudi 14 novembre, 18 h

ouvert
horaires variables et sur rdv

avec l’artiste
mercredi 13, 16 h 19 h
jeudi 14, 17 h 20 h,
vendredi 15, 16 h 19h,
samedi 16 et samedi 23, 12 h 14 h, 16 h 18 h

La Table d’Immédiats
67, rue du Quatre-Septembre
13200 Arles, France

Analogues | Anne Houel, Tobrouk

Descriptif 

: 19 x 26 cm, 96 pages, fr/eng, relié.
Auteurs  : Paul Ardenne, Sylvain Courbois.
Parution novembre 2024.
Isbn : 978-2-35864-119-7.
Prix public : 28€.

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Ce premier ouvrage d’Anne Houel est consacré à la sculpture monumentale Tobrouk installée sur la plage Riva-Bella de Ouistreham pendant une année puis déplacée au Musée d’Art, Histoire et Archéologie de Évreux. Tobrouk est une sculpture monolithique en acier corten qui représente l’espace intérieur d’un bunker individuel de type tobrouk. L’œuvre témoigne et réécrit, à l’aune des décennies qui nous séparent de l’implantation des bunkers sur la côte normande, l’histoire de ces constructions avec lesquelles ont grandi deux, voire trois générations. À Ouistreham, l’œuvre est cachée sous une montagne de sable, et le public est invité à mettre au jour la sculpture comme pour en révéler les traces fossilisées du passé. L’artiste propose au public de vivre l’œuvre selon la posture de l’explorateur et fait référence à son expérience intime au contact des vestiges du Mur de l’Atlantique « abandonnés aux jeux des enfants » (Paul Virilio, Bunker Archéologie, Publications Centre de création industrielle Centre Georges Pompidou, 1975). La sculpture, rapatriée dans une cour de Musée, y est présentée tel un vestige retrouvé, une sculpture énigmatique où on observe, sur la coque monolithique laissée à nue, les traces de son archéologie. 

Publié avec le soutien du ministère de la Culture – programme Mondes nouveaux, de la région Normandie, de la commune de Ouistreham Riva-Bella, du musée d’Art, Histoire et Archéologie d’Évreux, de l’Artothèque de Caen, du Frac Centre-Val de Loire, de l’entreprise MC2 Industrie et de Didier Webre.

Édition : Gwénola Ménou et Fabien Chaminade
Conception graphique : Fabien Chaminade
Correction : Stéphanie Quillon
Traduction : Danya Kiernan
Crédits photographiques pour les vues de Tobrouk : Anthony Girardi
Photogravure : Caroline Lano, Arles
Diffusion/distribution en librairie : Les Presses du réel, Dijon

Semaine 43.24 (no. 494) | Chiharu Shiota, Beyond Consciousness | Musée du Pavillon de Vendôme, Aix-en-Provence

Les œuvres de Chiharu Shiota sont éphémères, mais elles visent à laisser une impression durable. L’artiste réalise des installations immersives dans lesquelles un espace entier est traversé de fils de couleur généralement noire ou rouge, couleurs qui selon l’artiste peuvent être associées au ciel nocturne ou au cosmos pour la première, au sang ou au fil rouge du destin dans la mentalité asiatique pour la seconde. Un fil rouge, tel un cordon ombilical qui nous relie à la vie, à la fois viscéralement et poétiquement. Ces fils, dessins dans l’espace, aux réseaux complexes matérialisent des liens entre les êtres et les choses dans une énergie onirique et poétique.

Semaine n°494, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Christel Pelissier-Roy
Parution vendredi 25.10.2024
Isbn 978-2-35864-122-7
17 x 24 cm, 16 pages, 6 €

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Les paiements sont également possibles par virement bancaire ou par chèque en adressant votre commande par email

Semaine 42.24 (no. 493) | Mireille Blanc, Artifices | La chapelle-espace d’art contemporain, Thonon-les-Bains

Intitulé « La peinture… quoi d’étonnant ! », le cycle d’expositions de La chapelle de la Visitation de la saison 2024-2025 vise à mettre en exergue différentes propositions qui actent la pérennité d’un mode que beaucoup pensent obsolète. Inaugurer celui-ci en présentant le travail de Mireille Blanc, née en 1985, l’une des figures majeures de sa génération, repose sur le fait que sa peinture condense la plupart des problématiques liées à ce mode d’expression. Au regard du format des tableaux, du sujet représenté, des jeux de composition, de couleur et de lumière, bref de toutes les qualités inhérentes au fait pictural.

Semaine n°493, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Philippe Piguet
Parution vendredi 18.10.2024
Isbn 978-2-35864-120-3
17 x 24 cm, 16 pages, 6 €

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Table | Les Matons | 28.10 – 09.11.2024

Si l’on dit liberté, humour, amour, enfance et invention, imaginaire quotidien, on parle des Matons, des artistes qui ont joué ensemble dans ces petites cabines-photo de l’espace public, s’inventant en masques, accessoires, détails saugrenus. Leur clan d’amis est de la même eau, en témoignent les messages sur leur répondeur, restitués par un 33 tours d’infos triviales, bruitistes, surréalistes, complices. La Fabrique sensible édite leur album JB001… on a marché sur la lune.

vernissage
jeudi 31 octobre 18 h

ouvert
du lundi au samedi, 16 h – 19 h
sauf mardi 29 et mercredi 30 octobre

avec Christian Bonifas, artiste, 
lundi 28 et jeudi 31 octobre, samedi 2 et samedi 9 novembre

avec Francine Zubeil, éditrice,
jeudi 31 octobre et vendredi 1er novembre

La Table d’Immédiats
67, rue du Quatre-Septembre
13200 Arles, France

Semaine 41.24 (no. 492) | Yann Lacroix | Fondation Bullukian | Abbaye royale de Fontevraud

Yann Lacroix est le premier lauréat de la Résidence Bullukian-Fontevraud. Pendant plus de quatre mois, l’artiste a posé ses palettes et ses pinceaux au cœur de l’Abbaye royale de Fontevraud pour prendre possession de ce nouvel espace de vie et de travail. Dans ce vaste atelier, les tubes de peinture se sont assemblés, les pigments colorés ont été déposés sur les toiles encore vierges avant d’être rigoureusement effacés et la lumière du Val de Loire s’est mise à transpercer les murs et les tableaux. Va dès lors commencer un travail d’immersion et de recherche pour l’artiste. Imprégné physiquement de Fontevraud et nourri de deux histoires, l’artiste n’a eu de cesse d’opérer un travail de remémoration et
de dialogue entre ces deux territoires : Lyon, ses traboules, ses riches collections antiques, Napoléon Bullukian et son Arménie natale et Fontevraud, sept cents ans d’histoire monastique, son organisation spatiale spectaculaire, sa beauté architecturale et sa famille Plantagenêt. Les nouvelles productions de l’artiste sont marquées de l’influence qu’a eue l’histoire des lieux et plus largement du passé historique et symbolique encore omniprésent.

Semaine n°492, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Julie Chaizemartin
Parution vendredi 11.10.2024
Isbn 978-2-35864-123-4
17 x 24 cm, 32 pages, 10 €

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Table | Solie Morin | 15 – 26.10.2024

Solie Morin, est graphiste. Sa proposition pour la Table d’Immédiats permet la rencontre entre son travail de commande et sa pratique personnelle. Deux regards croisés sur la représentation de la relativité des couleurs, leurs superpositions et la mise en scène de la lumière à travers des techniques variées, notamment la sérigraphie et l’assemblage textile.

vernissage
jeudi 17 octobre 18 h

avec la graphiste
jeudi 17, samedi 19 et samedi 26 octobre

ouvert
du lundi au samedi, 16 h – 19 h

La Table d’Immédiats
67, rue du Quatre-Septembre
13200 Arles, France

Semaine 40.24 (no. 491) | Iris Levasseur, Chorégraphies | Musée de Tessé, Le Mans

Peintre absolument, Iris Levasseur décline depuis plus de vingt ans une œuvre singulière et puissante dont le vecteur cardinal est la figure du corps — la figure du corps dans l’espace. Si elle a tout d’abord puisé au plus près du réel pour la mettre en situation dans des saynètes aux références multiples, elle emprunte ses modèles depuis plusieurs années à l’histoire, qu’elle soit mythologique, ancienne ou contemporaine. Ce faisant, son objectif est de faire valoir la force de l’image à nous interroger sur le monde et à dessiller notre regard sur les mutations dont il gronde. Par-delà la question du modèle, celle du corps est la préoccupation primordiale de sa démarche. Elle détermine son art à l’ordre de l’humain au compte d’une production plastique où peinture et dessin sont intimement liés.

Semaine n°491, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Philippe Piguet
Parution vendredi 04.10.2024
Isbn 978-2-35864-121-0
17 x 24 cm, 16 pages, 6 €

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Analogues | Anaïs Lelièvre, littera/terra

Descriptif 

: 21 x 28 cm, 96 pages, broché, jaquette.
Auteurs  : Stéphanie Le Follic-Hadida, Marc Pottier, Elora Weill-Engerer, Jean-Charles Hameau.
Parution octobre 2024.
Isbn : 978-2-35864-118-0.
Prix public : 28€.

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L’œuvre d’Anaïs Lelièvre est empreinte de lignes et de matières qui sont autant de strates des terrains qu’elle arpente, qu’elle habite en nomade et qu’elle met à l’étude de sa palette d’artiste. Géologie, archéologie, écriture, histoire urbaine et formes architecturales infiltrent son travail et le structurent. En seulement quelques années depuis 2016, l’artiste a réalisé un important nombre d’œuvres céramiques, en parallèle de ses installations souvent monumentales de dessins imprimés, conçues aussi bien pour des lieux d’exposition que pour des espaces extérieurs. Avec la céramique, dont la pratique constitue déjà un pan spécifique dans son œuvre, Anaïs Lelièvre se rapproche d’une matière qui incarne ses domaines d’exploration. La terre modelée, gravée, compressée ou liquéfiée met au travail à la fois une relation aux mouvements incontrôlés du sol, volcanique ou sismique, et une recherche d’écriture, de transcription distanciée. Cet ouvrage propose une coupe franche dans ces séquences d’œuvres céramiques à l’occasion du parcours d’expositions de ses œuvres dont la première étape est organisée au musée de céramique de Lezoux d’octobre à décembre 2024.

Stéphanie Le Follic-Hadida est historienne, critique, commissaire d’exposition, vice-présidente de l’Académie internationale de la Céramique. Marc Pottier est commissaire d’exposition au Brésil. Elora Weill-Engerer est historienne de l’art, critique et commissaire d’exposition. Jean-Charles Hameau est conservateur en chef du patrimoine, musée national Adrien Dubouché, Limoges.

Publié avec le soutien du Musée de la Céramique de Lezoux, de la Drac Auvergne-Rhône-Alpes, du Département du Puy-de-Dôme ; du Département des Bouches-du-Rhône ; de la galerie Capazza, Nançay ; de la Communauté de communes des Terres du Haut Berry, Centre de céramique contemporaine La Borne.

Édition : Gwénola Ménou
Conception graphique : Emmanuel Leroy
Correction : Stéphanie Quillon
Photogravure : Arles Photogravure
Diffusion/distribution en librairie : Les Presses du réel, Dijon

 

Table | Jugnet + Clairet, Nuages, Soleils, Sunsets | 01 – 12.10.2024

Anne Marie Jugnet et Alain Clairet sont des artistes français qui développent une œuvre ensemble depuis 1997 et vivent au Nouveau-Mexique depuis 2005. Ils définissent leur travail comme protocolaire et processuel, menant une réflexion sur les modes de production et de représentation de l’image. Les déserts, la rareté de l’information, les unités discrètes, les menus changements, les détails, les intervalles, les interstices, les marges, la survivance, la persistance et la mémoire de l’image en constituent l’univers.

vernissage
jeudi 3 octobre 18 h
rencontre-visio avec les artistes 18h30

Une exposition conçue par Stéphane Tanguy et Pierre Grand.
Textiles conçus et produits par Tissus Smati.

ouvert
du mardi au samedi, 14 h – 19 h

La Table d’Immédiats
67, rue du Quatre-Septembre
13200 Arles, France

Didier Barcelo, La transparence des arbres | 03.09 – 21.09.2024

Didier Barcelo photographie les arbres, plus exactement il essaie de capter l’émotion qu’ils lui procurent, cette douce sérénité, cette présence immarcescible qu’ils dégagent. Pour cette exposition, il utilise un support spécifique : le Murakumo, un papier japonais washi extrêmement fin qui laisse passer la lumière. C’est cette conversation entre la lumière de la pièce et la lumière de la photographie qui intéresse Didier Barcelo. Il propose, ici, trente photographies d’arbres. Trente instantanés de l’âme des arbres.

vernissage
jeudi 5 septembre, 18 h

ouvert
du lundi au samedi 
avec le photographe
16 h – 19 h

La Table d’Immédiats
67, rue du Quatre-Septembre
13200 Arles, France

Semaine 31.24 (no. 490) | Perlinpinpin, Artifex Nomina | UH5

12 juin 2024. Théâtre du Nord. 17h.
Je lis le texte à Perlin. Il écoute comme s’il ne s’agissait pas de lui. Il se laisse porter par le rythme de la voix. Ça semble être son critère pour savoir si ce qui est lu est juste ; je sais qu’il écoute chez lui pendant les interminables préparations des matériaux nécessaires à ses travaux, des textes lus en boucle : Marcel Proust, Valère Novarina…
Perlin semble apprécier ma lecture, il est un peu en arrêt. Du coup j’insiste : qu’est-ce que c’est ce truc de vouloir écrire le nom des artistes du Nord avec des caractères plus ou moins grands comme si c’était une échelle de valeur ? Je suis sûre que ce n’est pas ça que tu fais, et puis quel rapport avec ton goût de la brocante ? Tu n’arrêtes pas d’opposer la brocante et l’art. Et voilà que tu te mets à organiser une brocante virtuelle de l’art contemporain. C’est bien la photocopie de ton projet que tu m’as donnée ?
Il fallait que je comprenne. Ce texte c’est ce que j’ai compris.
Il me dit enfin : « ouais, c’est vraiment très bien, continue ».
Je remballe mes affaires et je rentre. 
Je sais qu’il me reste à débrouiller le grand écheveau de son rapport au Temps.

Semaine n°490, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Francine Auger-Rey
Parution vendredi 02.08.2024
17 x 24 cm, 16 pages, 6 €

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Semaine 30.24 (no. 489) | Théo Peruchon, Timothée Engasser et Jérémy Saint-Léger, Meteodrome | Maison forte de Hautetour, Saint-Gervais-les-Bains

Invités à la Maison forte de Hautetour à Saint-Gervais, de mai à juillet 2024 pour une résidence de recherche et de création, Théo Peruchon, Timothée Engasser et Jérémy Saint-Léger ont débuté leurs travaux autour du projet Meteodrome. Celui-ci inaugure avec cette première proposition une série d’expéditions à la recherche des traces et tentatives de contrôle de la météo. À travers le détournement d’images d’archives, de rites et de relevés scientifiques, visibles dans les œuvres produites pour l’exposition de restitution, le projet sonde les gestes et les outils voulant interagir avec le climat, tentant de le contenir, l’influencer, jusqu’à le contrôler. Meteodrome porte une réflexion sur le devenir de ces pratiques en explorant leurs origines et leurs formes multiples, en révélant ces « gestes météorologiques » comme spectacles catastrophiques. L’exposition Meteodrome, Il n’y a pas de saison met à jour un ensemble de rituels portés vers le ciel et son contrôle, cherchant à prolonger l’attirance des êtres humains pour ce vaste espace mythique et ses conséquences démesurées. Emma Legrand, commissaire de l’exposition

Semaine n°489, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Text. : Agathe Rollet
Parution vendredi 26.07.2024
Édition papier, 16 pages, 6 €

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Semaine 29.24 (no. 488) | Laurence Pigeyre | UH5

En 2018, Laurence Pigeyre crée uh5 à Roubaix. « J’ai voulu regrouper sous un même toit ce qui me manquait dans ma pratique photographique », nous dit-elle, comprenez les services indispensables aux photographes pour diffuser leur travail de façon qualitative : tirage d’art jusqu’aux formats les plus audacieux, contre-collage de précision et encadrement de tous types d’œuvres d’art. La philosophie : offrir aux artistes, musées et collectionneurs les meilleures techniques et matières disponibles, garantissant la conservation des œuvres. Pas de compromis sur les matériaux ou les techniques quand il s’agit de permettre aux œuvres de rencontrer les futures générations. uh5 fait partie aujourd’hui des rares laboratoires de tirage certifiés par les plus grands papetiers de la spécialité et est un partenaire incontournable des collectionneurs et conservateurs exigeants. Ce numéro de Semaine raconte l’aventure photographique de Laurence Pigeyre : de l’humain toujours de l’humain, sans fioriture mais avec beaucoup de sensibilité. 

Semaine n°488, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Parution vendredi 19.07.2024
Édition papier, 16 pages, 6 €

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