Semaine 24.21 (NO. 446) Floryan Varennes | Violence Vitale | Restitution de la Résidence artistes en entreprises, ministère de la Culture

Seul on avance plus vite, à plusieurs on va plus loin

Tel est le credo qui a élevé la Résidence d’artiste en entreprise de Floryan Varennes au rang de confluence entre une filière cuir, un territoire en mutation et l’art contemporain. Une résidence mise en place par le ministère de la Culture, confortée par des partenaires incontournables – la Drac Occitanie et l’Afiac –, et stimulée par un savoir-faire local innovant en matière de cuir. Les maroquineries Philippe Serres et La Fabrique, ainsi que le Comptoir Mégisserie Icart & Fils et l’entreprise FGM. Les manufactures partenaires ont su prendre le projet à bras-le-corps. Cette alliance a donné naissance à des œuvres singulières exposées au cœur de la Maison des Métiers du Cuir, un écrin au creux duquel résonne un savoir-faire millénaire, une filière artisanale toujours vivante et un terreau fertile pour la création contemporaine. Cette fertilisation croisée, des plus créatives, offre de belles perspectives d’avenir auxquelles la ville de Graulhet est fière de contribuer.
Blaise Aznar, Maire de Graulhet

Semaine n°446, revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Texte : Blaise Aznar, Yves Sabourin, Ingrid Luquet-Gad
Parution vendredi 11.06.2021
Édition papier, 16 pages, 4 €

Nervures gothiques

Floryan Varennes, artiste plasticien, nourrit depuis l’enfance son imaginaire en s’évadant de la réalité quotidienne afin de pénétrer d’autres univers comme le médiéval et d’explorer ainsi ce monde fantastique où s’animent des Démons et Merveilles1. Cette époque de l’histoire occidentale, qui s’étend du Vème au XVème siècle, voit naître et se développer les différentes périodes de l’art roman et de l’art gothique, offrant une production artistique riche et extraordinaire dans tous les domaines de création.

En 2014, le médiévalisme2 devient donc l’alter ego de Floryan Varennes. Il se passionne pour l’histoire, la sculpture et le vêtement qui, au fil de ses créations, s’évapore au profit de l’armure et de ses accessoires, s’émancipant peu à peu du protocole guerrier et, s’offre comme des parures. Pour exprimer son œuvre, Floryan Varennes use de la joute comme une nécessité qui se compose d’un mélange sophistiqué, de recherches scientifiques radicales, de sensualité juste effleurée, du goût pour l’ornement ; quelquefois insolite, du besoin de savoir-faire, sans oublier Dame Rigueur qui permet à l’artiste de donner corps à ses sculptures. Lorsqu’il entre en lice c’est afin de maîtriser, avec des gestes finement étudiés, des matériaux comme le cuir, le tissu, le vinyle médical ou le plexiglas qu’il associe à des objets usuels ou singuliers comme des orthèses ou des ustensiles tels que des cages métalliques médicales. Pour l’artiste, la Nature salvatrice est également une source d’inspiration. Elle infuse esthétiquement son parcours, jonché de bouquets de lavandes, de lierre ou de plants de chardon. Ces végétaux stylisés ou naturels font écho aux tapisseries dites Mille Fleurs3, si emblématiques de l’époque médiévale où il n’y avait pas de frontière entre les différentes expressions artistiques.

Ainsi, Floryan Varennes nous propose des combats esthétiques où les lances de tournoi ainsi que les masses d’armes sont en verre, les heaumes protégeant les têtes sont transparents et les cuirasses et emblèmes, aux sensualités sophistiquées, sont en polymère ou en lanière de cuir irisé…

Yves Sabourin
Inspecteur création artistique
DGCA – ministère de la Culture
Commissaire indépendant

Sursum corda, 2021, faux cuir iridescent, rivets, fils, câbles en acier, bois, 300 x 90 cm x 11 étendards, Partenariat : Maroquinerie La Fabrique.

La parure pour le tout

Dans l’espace se tiennent des mues transies, venant marquer le parcours d’autant de manières de négocier un rapport à l’horizontalité. Les unes plient et ploient, les autres se raidissent et se durcissent, tandis que d’autres encore se boursouflent et se contorsionnent. Chacune de ces formes armaturées, ambiguës et paradoxales, s’obstine à perpétuer une présence corporelle qui, d’une ancienne chair, ne retient plus guère que l’épure. Et pourtant, parce qu’elles se dressent, nous les recevons comme une adresse : de taille anthropomorphe, elles intiment à cet autre corps, celui, palpitant et sensoriel qui les rencontre, de prendre la mesure de leur statut ontologique. S’il est vrai que la faculté de se tenir dressé signale intuitivement la présence d’un vivant évolué, leur structure, répondant à une organisation géométrique rigoureuse, signale quelque chose comme la création d’un être adapté à un milieu.

Chacune de ces formes semble ainsi exprimer une fonctionnalité potentielle : il en va d’un processus d’autodéfense contre une agression extérieure. Tout comme la coquille, la carapace ou le plastron, protégeant les tissus mous qu’ils enserrent, ces formes-ci, de nature indéfinissable, déclinent à leur tour divers rapports de préservation face à l’adversité : camouflage optique, enveloppe protectrice ou bords acérés. Cependant, la matérialité des œuvres que présente Floryan Varennes à la Maison des métiers du cuir infléchit insensiblement l’approche initiale. Ainsi qu’il est d’usage chez l’artiste, le registre des matières et des techniques des cinq séries de sculptures et d’installation, allie à l’organicité du cuir les derniers développements techno-scientifiques. Plutôt que de mues, nous serions alors en présence d’exosquelettes, résultant d’une évolution qui ne serait pas tant créative qu’elle est technique.

La puissance d’exister des techno-corps

Avec Violence Vitale, Floryan Varennes prolonge son exploration incantatoire d’un corps appareillé. Augmenté ou entravé, celui-ci est caractérisé en veillant à ne jamais le représenter au moyen d’un procédé de suggestion métonymique, jouant la parure pour le tout. À partir d’une érudition académique foisonnante mâtinée d’imaginaires ésotériques et science-fictionnels, l’artiste cristallise certains motifs, tropes visuels ou narratifs récurrents. Or s’il est question d’un techno-corps, c’est aussi, plus largement, au sens où n’importe quel organisme, dès lors qu’il est jeté dans le flux de l’évolution, qu’il doit tenir ensemble la croissance et la déperdition, la réparation et l’agression, négociant des dosages entre l’un et l’autre ; et ce, suivant la définition du conatus, concept-clé de L’Éthique du philosophe Baruch Spinoza, afin de « persévérer dans son être », et conserver voire augmenter sa « puissance d’exister ».

Depuis ses premiers travaux d’envergure entrepris à partir de 2018, l’artiste place à la source de sa réflexion et de ses motifs deux registres chronologiques entrelacés : d’un côté, le Moyen Âge, ses rapports de pouvoir liés au corps et ses formes de vie, de pensée et d’art en tant qu’elles pallient la brutalité sociale croissante, ainsi que l’historien Johan Huizinga en fera l’hypothèse dans L’Automne du Moyen Âge (1919) ; et de l’autre, les futurs spéculatifs, tels que diffractés dans l’imaginaire populaire par les productions culturelles existantes, récits et images. De la sorte, l’anthropotechnie, entendue comme la transformation de l’être humain par le biais de pratiques et de modifications corporelles, se décolle de son acception habituelle, entachée d’utopisme triomphant, afin de désigner une caractéristique de l’humain – et quelque chose comme sa présence même.

Par ce biais, l’artiste donne forme à l’une de ses principales préoccupations : se décoller des essentialismes et binarismes de la modernité occidentale, ceux qui tiennent artificiellement séparés la nature et la culture, les genres, mais aussi, et telle sera l’approche spécifique des recherches entreprises dans le cadre de Violence Vitale, les savoirs institués et les savoirs populaires, héréditaires, oraux et communaux. L’exposition entérine un tournant par rapport aux précédentes séries, œuvres et expositions de l’artiste, élargissant l’approche du corps individuel paré au corps social dans son ensemble. Plus particulièrement, il s’agit avec cette exposition de réfléchir au soin et à la guérison, inséparables de leurs états gémellaires de la violence et de la guerre. Son titre s’y rapporte alors, avancé sous les auspices d’un oxymore et d’une possible résolution par des rapports de protections déclinés sous autant de formes sensibles, et de la mise en suspension d’états contraires.

Le somptuaire au service de la narration

En prenant pour assise théorique son intérêt pour la médecine médiévale, dont il dit explorer la « dimension curative antinomique », Floryan Varennes décline un parcours scénographique conçu comme un arc narratif somptueux et somptuaire. Celui-ci embrasse et relie, par une mise en lumière ciselée, les cinq parties de la proposition. Violence Vitale s’ouvre sur une première salle rythmée par une série de onze étendards en faux cuir. Évidés et tramés de manière à décliner un filet géométrique en damier, leur revêtement iridescent les dématérialise en les animant de reflets perle, bleutés, turquoise et rosés. Reprenant une pièce plus ancienne, Codex Novem, leur précédente présentation suspendue cède désormais la place à une chute en cascade. Ces bannières abandonnées, qui signalent d’ordinaire les appartenances de chacun, ainsi que l’exaltation des rapports de force belliqueux, indiquent déjà l’entrée dans un autre registre. Sursum Corda, « haut les cœurs » en latin, donne à l’impression initiale, celui d’une splendeur déchue et d’une acmé déjà dépassée, un prolongement plus ambigu, où la chute luit en même temps faiblement des prémisses d’un nouvel horizon.

Lorsque la clameur de la bataille s’estompe, et que l’ancienne splendeur se meurt, alors il faut panser et pallier, rapiécer et régénérer. S’ouvre le temps long, laborieux et ductile, de la réparation, et avec lui, celui des techniques du soin. Autour du corps meurtri, ces savoirs communautaires viendront reconstituer une armure artificielle. Suspendues à la verticale, sept civières en cuir blanc pelliculé d’un traitement antibactérien irradient depuis un même centre de gravité placé à une hauteur de trois mètres. Hildegarde, le nom de l’installation, fait référence à la femme de lettres et guérisseuse Hildegarde de Bingen, célébrée pour ses livres préfigurant les découvertes à venir sur la circulation du sang et le système nerveux. Un réseau de nervures parcourt la surface des pièces qui s’enfle par endroits à la manière d’un tissu musculaire irrigué d’un fluide vital, tout en demeurant retenues à d’autres points par un système de rivets métalliques.

Matelassées et destinées à accueillir un corps de manière douce, chacune de ces civières est cependant dénuée d’occupants. Transposant la panacée du Moyen Âge à l’ère cyber-futuriste des medical pods [lits médicaux destinés à régénérer les corps], l’installation semble elle-même palpiter d’une vie organique ou de ses possibles prémisses. Un autre registre s’y superpose cependant : les civières sont frappées de leur titre, épelé à la manière d’un logo d’une grande firme, indiquant le possible dépassement de l’actuelle privatisation par brevets du soin par les industries capitalistes, ses techniques et ses appareillages. En cela, l’artiste vient opposer une contre-narration au récit qu’expose la philosophe Silvia Federici dans Caliban et la sorcière (2017), où celle-ci décrit l’avènement inexorable d’un mode de production fondé sur l’extractivisme et l’accumulation des richesses succédant à l’ancien féodalisme du Moyen Âge.

Hildegarde, 2021, cuir blanc, carton, mousse, acier, anneaux, rivets, 250 x 90 x 7 cm. Installation 7 x 7 x 4 m de hauteur. Partenariats : Comptoir Icart, Maroquinerie Philippe Serres.

Vers l’attention partagée à la vulnérabilité

De ce phénomène, Graal Theory, un plus petit dispositif élaboré à partir d’instruments médicaux, en cuir bleu et en caoutchouc dentelé, marque une seconde déclinaison. Semblable à une cage de torture et sus-pendu par une chaîne, il reprend la circularité des civières tout en tournant sur lui-même lorsqu’il est actionné. Par ce contenant, le soin futuriste renoue avec sa part antérieure de sacré : s’il tourne, c’est qu’il accueille les vœux. En un sens, la pièce éclipse le sort moderne de la médecine, projet politique dénaturant l’attention partagée au vivant par ses systèmes effets délétères sur les corps et les consciences. En cela, elle vient contrer le projet de dressage historique et ses avatars modernes biopolitiques, tel que le décrit le philosophe Michel Foucault au fil de plusieurs ouvrages, notamment au sein de la Naissance de la clinique. Une archéologie du regard médical (1972).

Une prochaine salle, et la série qu’elle accueille, module à son tour le spectre totalisant du projet moderne au profit de possibles contre-usages alternatifs. Avec les trois cibles étoilées suspendues en cuir verni matelassé de N.K. (Morgenstern) 1.1, l’ambiguïté d’un être organique autonome ressurgit en fin de parcours. En cuir verni matelassé et riveté, de teinte rouge sang caillé pour les deux premières, et d’un bleu de ces nuits que l’on dit d’encre pour la troisième, les pièces fusionnent les champs de référence à une arme militaire médiévale (l’arme blanche « morgenstern », pour « étoile du matin ») et à la cellule anticorps (les cellules « natural killer » ou « N.K. », ces « tueuses naturelles » du système immunitaire capables de vaincre les cellules infectées), tout en les agrandissant à une échelle qui, en cela, les dote d’une existence ambiguë, rayonnante et proliférante. En cela, les systèmes de protection, techniques et biologiques, fabriqués et innés, fusionnent jusqu’à créer de la sorte un nouvel organisme, à la monumentalité paradoxale.

Un long couloir mène jusqu’à l’ultime salle qui, à l’instar de la première, recontextualise un registre d’œuvres plus anciennes, La Meute, afin d’en rénover l’appréhension. L’Assemblée se compose de neuf nouvelles itérations des « muselières », emblématiques du travail de l’artiste. Articulées à la manière d’une armure et partiellement repliées sur elles-mêmes de manière à esquisser un renflement, et un cocon, celles-ci s’inscrivent dans les précédentes recherches entreprises autour de la parure. Translucides et luisant d’un éclat bleuté, leurs membranes sibyllines en pvc médical sont lardées d’attaches, de rivets, d’anneaux et de clochettes en inox, tandis que leur forme reprend de manière indicielle les éléments formels d’une armure médiévale, spalières et jambières, ici détachées d’un rapport explicite au corps individuel pour faire fusionner la chair absente et son appareillage.

D’une nature ambiguë, la série met en tension une transparence fluide et aqueuse avec la résistance de la matière et de la gravité, ces rivets et attaches qui travaillent les structures comme leur envers contraignant. Il en va, plus fondamentalement, d’une antinomie qui infuse les recherches et la production de Floryan Varennes, où la séduction naît de la violence, la guérison de la guerre et le remède du poison. Parsemant l’étendue de la salle qui accueille les pièces, un champ de chardons, choisis pour leurs propriétés phytothérapeutiques, plantés au sol, accentue la présence du naturel au sein de la proposition. L’Assemblée vient ménager un point d’orgue à un cheminement tout entier régi par la suspension formelle des œuvres, tout en ouvrant un fragile moment de concordance entre le corps et son appareillage, le technique et le chimique, l’apparition et la disparition.

Donner forme sensible à l’ambivalence de la technique

Sans gommer les tensions ni la lutte vitale, la série ménage néanmoins, par son aspect plus directement technologique et cyberfictionnel, un possible élément de résolution. Il en va d’une évolution technique postulée comme réversible, ni bonne ni mauvaise, dont le cours peut être infléchi, à condition que les corps meurtris, ou vulnérables, s’en saisissent ensemble et s’en arment à leur tour. En reconnectant les imaginaires à l’histoire, et plus précisément au Moyen Âge tardif, que l’artiste définit comme une période permettant de faire l’histoire des marges, la croyance aux usages alternatifs des ressources techniques ressurgit. Leurs représentations désirantes, et leurs formes électives, elles, sont encore à faire advenir, en ouvrant le spectre des possibles pour l’amener vers une polysémie résiliente. Si le philosophe Bernard Stiegler, à la suite de Jacques Derrida, attirait l’attention sur le fait que « tout objet technique est pharmacologique » (Ars Industrialis, 2010), à la fois poison et remède, c’est en ce sens : la puissance destructrice contient une puissance curative, et toute technique, originairement, est irréductiblement ambivalente.

À l’encontre d’un dépassement du corps par la technologie,
Floryan Varennes avance qu’un usage alternatif des moyens techniques est possible. Son parti pris est celui d’une attention aux espaces de friction, ceux qui accueillent les corps vulnérables et ouvrent l’intervalle du soin, de la réparation et de la régénération. L’artiste nous en livre, plutôt qu’une illustration figée, autant de possibles incarnations palpitant d’une vie encore contenue.

Ingrid Luquet-Gad
Philosophe & critique d’art 

N.K. (Morgenstern), 2021, cuir verni, carton, mousse, rivet, fils, câbles en acier, 200 x 90 cm. Partenariat : Comptoir Icart, Maroquinerie Philippe Serres.
'Assemblée, 2021, muselières, tubes médicaux, pvc médical, attaches en inox, rivets, anneaux triangulaires, clochettes, chardons (Carduus nutans), dimensions variables (100 x 50 x 9 cm).

remerciements / thanks

L’exposition Violence Vitale a mobilisé de nombreux moyens matériels et humains, révélant une fois encore l’activité et le savoir-faire chers à la tradition graulhetoise du cuir. Elle est la restitution publique d’une résidence de trois mois dans le cadre du dispositif Résidences d’artistes en entreprises, porté par le ministère de la Culture et la Drac Occitanie. Floryan Varennes tient tout particulièrement à remercier ses soutiens, mécènes et partenaires pour leur présence, leur engagement et leur investissement.

The exhibition Violence Vitale mobilised many material and human resources, once again revealing the work and expertise that are so dear to the Graulhet leather tradition. It is the public reconstruction of a three-month residency in the context of the Résidences d’Artistes en Entreprises programme, supported by the Ministry of Culture and the Drac Occitanie. Floryan Varennes would particularly like to thank his supporters, sponsors and partners for their presence, commitment and investment.

Pour les soutiens : le préfet de la région Occitanie, Marie-Béatrice Angelé et Michel Roussel de la Drac Occitanie ; la mairie de Graulhet représentée par son maire Blaize Aznar mais également Benjamin Verdeil, directeur de cabinet, Jean-Michel Grau, élu au Patrimoine, Marie-Christine Lepinay, élue à l’Éducation, le service Culture, Événementiel et Tourisme, avec une mention particulière pour Vincent Portal, les services techniques de la ville et la Maison des métiers du cuir ; la mairie de Fiac pour l’accueil et la mise à disposition de locaux et de matériel ; l’Afiac, son président Christophe Monroy mais également Monique Gatti, Antoine Marchand et Félix Morel ; l’association Graulhet Le Cuir.

Pour les mécénats : la maroquinerie Philippe Serres avec Philippe, Carine, Thomas, Sylvie, Emma, Iléane, Maeva, Mike, Marielle, Johanna, Morgane, Alexandra et José ; le Comptoir Mégisserie Icart & fils en la personne de Jean-Charles ; et enfin la maroquinerie La Fabrique avec Dominique et Lechmi.
Pour les partenaires : FGM, Ascension, Nathalie et Dominique ainsi que le FabLab de Graulhet.
Pour l’élaboration et l’installation : Phoebé Meyer, Benjamin, Jean-Baptiste, Malika, Claudia, Mimi, Jacky et Mireille, Lionel, Jeff, Fred, Omar, Luc et Aurélien.

Enfin Floryan Varennes souhaite remercier plus particulièrement Ingrid Luquet-Gad, Yves Sabourin, Charline Kirch et Marion Pelegry.

Publié et diffusé par – published and distributed by Diffusion pour l’art contemporain, 67 rue du Quatre-Septembre, 13200 Arles, France. www.immediats.fr.
Directrice de la publication – Publishing Director Gwénola Ménou. Conception graphique – Graphic design Alt studio, Bruxelles. Réalisation graphique – Graphic execution Laurent Bourderon. Corrections – Proofreader Stéphanie Quillon. Traductions – Translation Matthew Cunningham. Photogravure – Photoengraving Terre Neuve, Arles. Impression – printer Petro Ofsetas. © L’artiste pour les œuvres, les auteurs pour les textes, Diffusion pour l’art contemporain pour la présente édition. © The artist for the works, the authors for the texts, Diffusion pour l’art contemporain for this edition. Abonnement annuel – Annual subscription 62 €. Prix unitaire papier – price per paper issue 4 €. Dépôt légal juin 2021. Issn 1766-6465

N.K. (Morgenstern), 2021, cuir vernis, carton, mousse, rivet, fils, câbles en acier, 200 x 90 cm. Partenariat : Comptoir Icart, Maroquinerie Philippe Serres.

Catégorie: Semaine

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