Lieu : Château-Gontier Chapelle du Gêneteil, centre d'art contemporain

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Céleste Boursier-Mougenot, états seconds

états seconds présente des œuvres de 1995 à 2008, et soulève des questions incontournables de position du travail entre arts plastiques et musique. Les premières œuvres plastiques de Céleste Boursier-Mougenot s’incrivent en effet dans la suite de son expérience en tant que compositeur, de 1985 à 1994. Céleste Boursier-Mougenot entreprend alors de donner une forme autonome à sa musique en réalisant des installations.

Publié avec le Collège/Frac Champagne-Ardenne, Reims, Césaré, studio de création musicale, Reims, Frac Lorraine, Metz, Grand Café, centre d’art contemporain, Saint-Nazaire, Chapelle du Genêteil, centre d’art contemporain, Le Carré scène nationale, Château-Gontier, galerie Paula Cooper, New York et galerie Xippas, Paris.

Auteurs : Samuel Bianchini, Céleste Boursier-Mougenot, Christophe Kihm, François Quintin, Peter Szendy.
Descriptif : 17 x 24 cm, 208 pages, broché.
Langues : français, anglais.
Parution : avril 2008.
Isbn : 9782915772074.
Prix public : 32 €.

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Cuzin

Cet ouvrage est la première monographie consacrée à l’artiste français Christophe Cuzin (né en 1956, vit et travaille à Paris). Il était essentiel après plus de quinze années de travail et un nombre considérable d’interventions, qu’une publication témoigne de l’envergure et de la constance de cette œuvre, de son affirmation au fil des années. 
L’ouvrage apporte différents points de vue sur l’œuvre : le regard d’un auteur, Alain Coulange, dont nombre de préoccupations croisent celles de l’artiste ; celui de commissaires d’expositions et critiques d’art ayant partagé des projets avec Christophe Cuzin ces dernières années ; des dessins de l’artiste de projets réalisés de 1990 à aujourd’hui ; et enfin une série de vignettes documentant les expositions.
” Selon la formule que Georges Perec s’appliquait volontiers à lui-même, Christophe Cuzin est un « usager de l’espace ». Un usager dont la peinture, puisqu’il est peintre, n’invente rien, sinon à inventer ce qui existe déjà. « Le problème n’est pas d’inventer l’espace, écrit Perec opportunément, encore moins de le réinventer, mais de l’interroger, ou, plus simplement encore, de le lire… » Dans des architectures sans visibilité ni qualité particulière, Christophe Cuzin distingue des portions d’espace qu’avec les outils du peintre il qualifie.
 Pourquoi Christophe Cuzin s’est-il affranchi du tableau pour élargir son terrain d’intervention à l’espace ? Pourquoi un peintre abandonne-t-il le tableau ? Aux raisons d’avoir recours au tableau et d’en faire usage répondent, on le suppose, des raisons de s’en distraire. Peut-être abandonne-t-on le tableau lorsqu’il n’est plus étrange, l’abandon du tableau ouvrant la peinture à l’étrangeté de l’espace ? Au demeurant, le passage du tableau au mur augmente l’espace et le temps, génère l’espace-temps d’un intervalle.”
  [Alain Coulange , extrait]

Publié avec le Crédac, Ivry-sur-Seine, le Frac Franche-Comté, l’école d’architecture et du paysage de Lille, le parc St-Léger, Pougues-les-Eaux, la chapelle du Gêneteil, Château-Gonthier et la galerie Bernard Jordan.

Auteurs : Alain Coulange, Bernard Jordan, Claire Tangy, Claire le Restif, Karine Vonna.
Descriptif : 24 x 17 cm, 144 pages, relié.
Langues : français, allemand.
Parution : juin 2006.
Isbn : 2-915772-06-1.
Prix public : 
26 €.

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