Ismaïl Bahri
Précipités
Galerie Les filles du calvaire, Paris
Polymorphe, son art passe par la photographie, la vidéo, le dessin ou l’installation comme autant de moyens de rejouer l’acte du « retrait », de faire naître sinon un événement, du moins une posture face à lui. Et si elle paraît insaisissable, se défiant des codes et de la représentation, la démarche de l’artiste n’a rien d’une dérobade. Car le retrait dépose une trace ou, comme il l’évoque lui-même, « attire l’attention par son désistement même ». C’est précisément cette pudeur à l’œuvre qui fait de son travail un générateur de possibilités de sens.
Semaine n°300
Revue hebdomadaire pour l’art contemporain
Auteur : Guillaume Benoit
Parution vendredi 27.04.2012
Édition papier
17 x 24 cm, 16 pages
ISSN 1766-6465
4€ COMMANDER
Édition numérique
Fichier Calaméo, 16 pages
1€ commander
Disponible également dans Semaine volume IX, septembre 2012, 18€
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